Dans les flammes, les exactions et les sangs mêlés s’achève l’aventure impériale de la France outre-mer.
Évoquant Oran dans le préambule de la Peste, Albert Camus écrivait : " Une manière commode de faire la connaissance d’une ville est de chercher comment on y travaille, comment on y aime et comment on y meurt. Dans notre petite ville (est-ce l’effet du climat ?), tout cela se fait ensemble, du même air frénétique et absent. Mais, ce qui est original, c’est la difficulté qu’on peut y trouver à mourir ! "